De la danseuse… à l’Opéra !
La petite danseuse de Degas nous mène tout naturellement à cette maquette de l’Opéra Garnier, présentée en coupe, qui permet de mieux comprendre la taille de la scène et de la salle de spectacle par rapport au reste du bâtiment.
La petite danseuse de Degas nous mène tout naturellement à cette maquette de l’Opéra Garnier, présentée en coupe, qui permet de mieux comprendre la taille de la scène et de la salle de spectacle par rapport au reste du bâtiment.
Voici une « tranche » du grand escalier !
Et pour le voir dans son ensemble,
j’ai trouvé ceci : cliquez ici !
Et pour le voir dans son ensemble,
j’ai trouvé ceci : cliquez ici !
En version "Tableau" :
Ici, un petit bug ! Je ne sais plus qui a peint ce tableau !
Si quelqu’un a une idée, merci de me le signaler !
Si quelqu’un a une idée, merci de me le signaler !
Pierre et caphadock viennent de trouver l'auteur
de cette toile, exposée au musée d'Orsay :
Il s'agit donc de :
NAVLET Victor ( 1819 - 1886 )
L'escalier de l'opéra Garnier à Paris en 1880
Cliquez ici pour admirer l'oeuvre complète !
Cliquez ici pour tous les détails (blog de caphadock)
oo)))O(((oo
Pour finir, un clin d’œil à caphadock
avec un petit souvenir de jeunesse !
Alors adolescente, mon oncle, chœuriste à l’Opéra (basse) m’avait invitée à une représentation du Barbier de Séville. Il me fit rentrer par une «petite porte» dérobée, puis m’a déniché une place libre dans une loge et m’a dit : tu me retrouveras après la représentation, dans la loge des chœurs ! Et de m’expliquer brièvement le chemin à suivre pour y parvenir….
Le spectacle fut grandiose… J’essayais évidemment, de le reconnaître sous ses divers costumes, je me souviens d’un certain arbalétrier…. Entre autres…. !
Lorsque la représentation fut terminée, je m’avisai de retrouver cette fameuse « loge des chœurs » : et là, ce fut une autre histoire !
Des couloirs immensément longs et étroits, des portes, plus ou moins fermées, un vrai labyrinthe !… j’ai erré seule pendant longtemps, me retrouvant à un moment et sans le vouloir, en plein milieu de la scène où les décors étaient en train d’être rangés… Un vrai bazar de fils dans tous les sens ! Diable !
Whouaouuu, j’étais sur la scène de l’Opéra !
Mais apparemment, ce n’était pas vraiment le bon chemin à suivre !
Bigre, mais où est donc cette loge ?
Finalement, après un bon marathon dans les couloirs, et avec l’aide d’une personne que je rencontrai, je finis par arriver à destination ! VIDE ! Plus personne !
Heureusement, avons finit par nous retrouver… enfin !
Mais quelle aventure !
oo)))O(((oo
Plusieurs d'entre vous m'ont demandé
Si je n'avais pas rencontré le fantôme de l'Opéra !
L'héroïne s'appelle Christine : quelle coincidence !
Suivez le lien en cliquant ici !
(à suivre)
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Musée d'Orsay - Paris - 30 décembre 2008
Musée d'Orsay - Paris - 30 décembre 2008
Très interessant!!
RépondreSupprimerMerci!
Un lieu prestigieux !
RépondreSupprimerTon histoire personnelle devrait figurer dans celle de l'opéra...en mettant sous silence le fait que tu dérobais les petites portes avec ton oncle...le comble tu espérais la retrouver !
RépondreSupprimerDans ton errance, tu aurais pu te retrouver dans les caves et découvrir la source...
RépondreSupprimerVistor Navlet a fait bien des tableaux d'architecture d'intérieur (1880). Où as-tu déniché ce tableau? A l'Opéra?
Il est vrai que le dédale de couloirs doit être monstrueux d'autant que rien que la partie réservée au public avec l'entrée, le grand escalier, les balcons et couloirs, la grande galerie et la salle de spectacle sont tout un spectacle mais c'est qu'une toute petite partie de l'édifice. J'aimerai, pour ma part pouvoir déambuler derrière le rideau et monter dans les cintres voir la machinerie. Mon père qui a fréquenté de tels lieux m'en avait beaucoup parlé mais c'était dans les années 20 à l'opéra de Lyon et je n'était pas né.
RépondreSupprimerPour le tableau je pense qu'il s'agit d'un extrait du grand tableau de Victor Navlet qui représente tout le grand escalier. Comme je n'arrive pas à le montrer ici je le passe a votre attention sur mon blog.
RépondreSupprimerJ'oubliais ce tableau se trouve au fond d'une alvéole en compagnie de deux autres du même genre et sur le mur du coté droit une reproduction du toit de la grande salle de l'opéra les muses de Chagall. C'est à Orsay au fond dans la prtie réservée à l'Opéra.
RépondreSupprimerEt le fantome ? tu sais dans quelle pièce il réside ?
RépondreSupprimerl'opéra de Montpellier est la réplique exacte que le palais Garnier...
je parie que tu ne le savais pas, Christineee...
ps : t'est un cas, toi, allez, bonne soirée...
Ce lieu, tu nous l'offres comme un conte!!
RépondreSupprimerUne nostalgie sensible pour nous faire vivre cet opéra!
Y as-tu retrouve le Fantôme de l'opéra?
Bises.
Pour "Le Pierrot" il existe aussi un opéra Garnier à Monaco. C'est une réplique exacte mais en plus petit alors pour avoir une place c'est impossible car il y a deux fois plus d'abonnés que de places
RépondreSupprimer> Emeline : Super que ça te plaise !
RépondreSupprimer> Ceanothe :
> Gérard : Je n’en menais tout de même pas large, à errer comme une âme en peine, perdue au milieu d’un monde inconnu !
> pierrre : Pour le coup, j’aurais été vraiment perdue ! Dans les caves ! Bigre !
En attendant, tu es trop fort pour l’auteur du tableau : Bravo ! Réponse à ta question par caphadock !
> caphadock : On voit ici le grand spécialiste des arts et musées !
Peut-être un jour te perdras tu aussi dans les couloirs de l’Opéra : ce n’est pas difficile : il suffit de pousser une petite porte et hop ! t’es paumé !
Pour le tableau, comme pierre, tu es trop fort ! Merci de lui avoir répondu sur l’emplacement de cette grande toile qui se trouve en effet pas très loin des maquettes (sinon, je ne l’aurais peut-être pas remarquée !).
J’ai mis en lien ton article sur le peintre ! C’est super !
Pour Monaco…. On attendra encore un peu !
> le Pierrot : le fantôme de l’Opéra n’a pas frappé trois fois ! Je ne l’ai pas rencontré !
Heureusement sinon, j’aurais eu trop peur !!!
Merci pour tes précisions sur l’opéra de Montpellier !
Signé : le « cas » !
> Manuela : Ben non, comme je le disais au Pierrot, pas de fantôme !
Peut-être aurais-je eu plus de chance au Louvre, avec Belphégor !
Biseeeeeeeeeeeeees à vous 7 !
Une véritable maison de poupée ! ;-)
RépondreSupprimerL'humour de ton commentaire sur le blog du geai Noé me fait arriver de suite ici, j'adore !
RépondreSupprimerEt en même temps je trouve de superbes photos. En grand format on se rend bien compte de la beauté architecturale
Merci et bonne soirée - Alain
Il est superbe ce reportage , détails très intéressants...
RépondreSupprimerMais dis moi, a quand l'article sur les amazones de toulouse?
J'ai lu l'article de la Depêche, vu la belle photot et je brule d'en savoir plus!
Et pour le reste...je te dis..à bientôt en Touraine!
> Lyriann : … manque plus que la foule dans la salle et les artistes sur la scène !
RépondreSupprimer> Marithé et Alain : Atterrissage réussit sur l’Ardoise !
> ml : Bien sûr, je ferai un “post”, curieuse ! … mais ce fut « chaud » !
Biseeeeeeeeeeeees à vous 3 !