La réponse à la question du billet précédent était :
Pour celles ou ceux qui auraient du mal à lire, voici les explications de la pancarte…
« Mentionnée dès le XIIe siècle, terminée au milieu du XVIe siècle, cette église tire son nom de « Blanchie » (latin : dealbata) de la chaux qui recouvrait ses murs intérieurs. Le tympan en céramique réalisé par Virebent y fut installé en 1874. Son clocher, édifié par Nicolas Bachelier en 1551, reconstruit en 188, s’effondra le 11 avril 1926 »
Voici ce qui reste du fameux clocher…
c’est-à-dire…
rien du
tout,
Si les murs intérieurs sont en pierres blanches, les murs
extérieurs restent en briques roses, comme tout bon monument toulousain qui se
respecte :
La façade est imposante, voire même carrément massive, et la
vision du tympan en céramique, très coloré, est assez impressionnante, surtout lorsqu'il y a peu de recul !
Cela donne à peu près ceci :
Après avoir évité de justesse le torticolis, et admiré la
rosace de pierres finement ciselées… ainsi que les sculptures à l’entrée du
portail…
… c’est l’intérieur de l’édifice, avec son jeu de lumières
colorées, qui interpelle !
Ma photo de la semaine vous l’avait suggéré…
Voici aujourd’hui
la source des lumières, éclaboussant la masse sombre des grandes orgues !
Tandis qu’un peu plus loin, nichée au creux d’une chapelle…
Une Vierge se découpe en ombre chinoise dans la lumière…
Vous pourrez facilement retrouver cette sculpture au cours de
la visite virtuelle de cette église en
Avis aux ami(es) visiteurs :
Je ne pourrai sans doute pas vous
commenter ni répondre pendant la semaine :
je suis dans les Cévennes… sans connexion
internet.
Les billets qui vont suivre sont
programmés.
J’ai activé la modération des commentaires
pour être sûre de ne pas en louper un à mon retour.
Si j’ai une occasion de me connecter, je
vous le ferai savoir !
A bientôt !