DE LA LOTTE POUR NOEL (suite)

DEUXIÈME PARTIE : DU FUMET AU DRESSAGE DU PLAT

Une douce ébullition et trois à quatre heures plus tard, me voici aux prises avec mon espèce de soupe : les morceaux ont presque disparu, il va falloir passer tout ce liquide au peigne fin, de façon à ce que personne ne se retrouve avec une arête en travers de la gorge !

Vite, un petit coup de mixer dans la marmite, pour écraser les quelques morceaux qui sont tombés au fond ; puis je sorts mon moulin à légume… non, pas le grand modèle, mais celui que j’utilisais pour faire les purées aux enfants quand ils étaient petits, c'est-à-dire... le plus petits qui puisse exister !

Armée d’une patience d’ange, j’entreprends un moulinage en règle : je tourne, je tourne, je tourne ! Le jus coule petit à petit, il coule aussi à côté, c’est tellement mieux quand on peut déborder !

Je vous épargnerais la purée infâme qui résultât de tous mes moulinages, bizarre cataplasme marronnâte pas très ragoutant, l’équivalent d’un petit saladier, où la cuiller pouvait aisément rester plantée et qui prit la direction de la poubelle sans avoir eu le temps de dire OUF !

Dans deux autres saladiers… j’ai récupéré ce qui peut être maintenant baptisé : FUMET DE POISSON ! Je pense que je vais avoir du stock !

Après l’avoir fait reposer au frais pendant la nuit, je vous livre ici l’aspect en trois couches qu’il a pris !

Le jour J est arrivé, la lotte achetée quelques jours auparavant est dégelée dans du lait…

A ce stade, je dirais même à cet instant précis, je puis affirmer que le « coaching » via texto puis directement par téléphone fonctionne super bien !

Je raccroche, riche des bons conseils, et m’attaque à l’apprêt final de mon plat.

Les morceaux de lottes préalablement séchés et farinés, sont mis à revenir dans mon sautoir. 

Puis je fais un roux et le mouille avec le fumet, pour l’épaissir ; j’en profite pour vider le vin blanc qui restait dans la bouteille.

Venez, beaux morceaux de lotte, je vous propose maintenant un bon bain, pas trop bouillonnant, juste frémissant, dans la sauce qui mijote depuis déjà un certain temps !

Pas trop longtemps, 15 minutes environ, surtout, de manière à ne pas durcir les chairs, et quelles restent tendres !

Le tout est dressé sur les assiettes, avec du riz en médaillon, sans oublier...

LA SAUCE, LA SAUCE, 

BEAUCOUP DE SAUCE !

(un détail... je n'ai pas rajouté de crème, la trouvant assez onctueuse comme ça !)

Il ne reste plus qu’à déguster….

Mais à partir de maintenant, je laisse Papy Charles s’en charger !

Et vu sa mine réjouie, je pense qu’il s’est bien régalé !

Tout le monde a apprécié, en a repris, il ne restait plus que… la part du pauvre, et encore !

De l’avis général de l’assemblée : ce fut une parfaite REUSSITE !!

     

Je dédie cette note « spécial cuisine repas de fête » à autourdupuits 

pour son aide précieuse et l’agréable moment passé ensemble… 

à papoter recette, moi les mains dans le poisson, 

et elle à se reposer après son repas de la veille, 

qui fut, à ses dires, un morceau d’anthologie autour de la poularde !

     

DE LA LOTTE POUR NOEL

PREMIÈRE PARTIE : LE FUMET

Repas du jour de Noël oblige avec 9 convives à rassasier et surtout à régaler, tel était mon challenge en cette fin du mois de décembre. Une obligation de taille à respecter : du poisson !

Voilà de quoi bien occuper mes méninges quelques jours avant la préparation !

Première étape, et non des moindres : choisir le poisson.

Le sort est tombé… sur ces chères petites bestioles très affreuses si on les regarde de très près, elles sont si peu photogéniques qu’il est impossible de leur tirer le portrait : vous ne verrez jamais leur tête sur les étalages, des fois qu’elles fassent fuir les acheteurs potentiels ! Vous avez devinez ? La LOTTE sera au menu !

Deuxième étape : comment la préparer ?

J’avais une vague idée… c’est alors que l’envie m’a prise de me choisir une coach super sympa ! Quelques sympathiques mails et textos plus tard, j’entrepris de confectionner un fumet de poissons, base de ma sauce pour cuire ma lotte !

J’allais commander mes lottes, et… tout ce qu’il fallait pour la fabrication de ce fameux fumet qui devait être une première pour moi !

Je fus très gâtée : un magnifique paquet, digne des meilleures pochettes surprises m’attendait, que j’ai eu l’extrême bonheur de déballer une fois rentrée à la maison ! Une énorme tête, des arêtes, des queues, des lambeaux de peaux…

Impressionnée par le volume, j’allais aussitôt chez ma voisine quémander un grand faitout et cocotte pour cuire tous ces déchets !

Je rassemblai ensuite quelques légumes à faire revenir : tomates, carottes, ail, thym, laurier, persil, blanc de poireau, vin blanc, huile d’olives, oignons, boîte de tomates concassées, sel poivre… (j’en oublie ?)

Je fis revenir tout cet attirail dans une grande cocotte en fonte :

Et vas-y que j’te touille dans tous les sens ! En parallèle, je fis subir le même sort à mon paqueton d’arêtes en tout genre, dans un grand faitout !

 A ce stade, les âmes sensibles s’abstiendront de

CLIQUER ICI,

 vu que ma tête de poisson est en train de passer un sale quart d’heure !

Quand tout fut remué et retourné sans dessus-dessous, j’envoyai les légumes retrouver les arêtes de poisson. 

Admirez au passage le point d’équilibre parfait de cette cocotte qui avait accepté de pauser sans broncher pour la photo souvenir ! 

Un cairn culinaire qui plairait peut-être à notre ami Roger !

Le tout devant rester à mijoter tout l’après-midi, 

je vous donne rendez-vous demain pour la suite des opérations !

(à suivre)

     

JOYEUX NOEL

Peut-être êtes vous,

En cette journée du 24 décembre,

En train de cuisiner, pour bientôt festoyer,

Ce soir ou demain, 

Il y aura cohue au pied du sapin

Les cadeaux seront là, un pour chacun,

Regards émerveillés des enfants

Petits et grands

Qui rêveront encore un bon moment

    

JE VOUS SOUHAITE 

JOYEUX NOEL

A TOUS ET A CHACUN

    

LA POMME ET L’ÉCUREUIL

Il était une fois,

Une pomme posée là

Au pied du gros arbre

Ne me demandez pas pourquoi

Il fallut peu de temps

Pour qu’un petit écureuil

Sente l’odeur sucrée

De ce fruit abandonné

Vite, il contourne le tronc

Quelque chose lui dit

Qu’il n’est plus très loin

De ce superbe fruit

Le gourmand lestement s'en empara,

De l’emporta à l’étage supérieur

Où la dégustation fut des meilleures, 

Bien installé sur sa branche 

Mais la pomme, maline,

Est un fruit encombrant :

Il faut beaucoup de dextérité

Pour pouvoir l’éplucher !

Quand soudain une terrible envie

Lui prit de surveiller l’étage inférieur ;

Pas de problème, devinez ce qu’il fit :

Il la mangea… La tête en bas !

Ce qui devait arriver  arriva :

La pomme... tomba !

LE MYSTERE DU MANCHE A… QUOI !

Comme vous avez été nombreux à essayer de deviner les tenants et aboutissants de notre objet mystère, je vous propose de passer en revue vos idées :

SÉRIE "MÉNAGE" 

                                                         

TAPETTE A MOUCHE GEANTE

AUTOURDUPUITS ne tourne pas autour du pot et part à la chasse aux mouches…
accompagnée de CATHY  et de FIFI, qui a encore une mouche qui s’incruste
sauvagement chez elle depuis quelque temps !

BATTOIR A TAPIS

CAPHADOCK doit avoir beaucoup de tapis chez lui ! Méfiance tout de même, tu risquerais de le casser, à taper trop fort avec !

NETTOYEUR DE RADIATEUR

Les reines du ménage, représentées par OXYGENE, FRANCOISE et FIFI, avec leur sens pratique, ne lui voit qu’une utilité : muni d’un petit manchon bien adapté à sa faible épaisseur, il nettoiera parfaitement tous les radiateurs récalcitrants et les zones hors gabarit !

PLIEUR DE LINGE POUR REPASSAGE

Poissonchat nous propose aussi : je cite "un ustensil pour faire les plis des jupes le pliage des chemises ou des draps" !

       

SÉRIE "CUISINE"

PASSE-TRANCHE DE PAIN AU BOUT DE LA TABLE

Non seulement elle est la reine du ménage, mais en plus, elle sait se ménager sans se fatiguer à table ! J’ai nommé : OXYGENE !

PELLE A PIZZAS OU A PAIN

 Avec cette proposition, nous reconnaissons là le gourmand de service : j’ai nommé CAPHADOCK ! Mais attention : opération déconseillée car fort dangereuse : l’ustensile étant fabriqué en plastique, risque de fonte non négligeable à envisager !

DÉCOLLE CREPE GÉANTE

CATHY aussi va devoir faire attention : l’ustensile risque fort de rester collé entre la poêle et la crêpe !

RAPPE-TOUT

ARLETTEART a envie de rapper aussi bien du bois... que du fromage : Hélas, impossible de rapper quoi que ce soit avec, c'est lisse comme "un cul de cafard" !

       

SÉRIE "TOILETTE"

GRATTOIR A DOS ET A MÉNINGES

OXYGENE, toujours à l’affût d’une méthode pour ne pas se baisser, nous propose de nous gratter le dos avec… mais il y a un hic : c’est assez souple, et trop lisse pour faire passer les démangeaisons !

LIME A ONGLES

ARLETTART est plutôt du style à bien soigner les mains et ses ongles… Hélas, aucune rugosité ne pourra limer tes ongles avec cet engin !

GRATTOIR A MOLLETS SANS SE BAISSER

Encore ELLE… qui décidément, a l’air d’avoir des gratouilles de partout en ce moment ! OK tu pourras atteindre tes mollets sans te baisser, peut-être pourras-tu introduire le bout entre le mollet et la chaussette, mais pour ce qui est de gratter… tu pourras réessayer ultérieurement !

CHAUSSE-PIED

Je savais bien que notre ami GERARD avait de grands pieds ! Mais, me direz-vous, c’est pour mieux pédaler !

       

SÉRIE "SPORTS"

ATTRAPEUR D’ETOILES FILANTES

Cette jolie définition très poétique nous a été offerte par notre ami PIERROT

PAGAIE PLIABLE POUR KAYAK GONFLABLE

Et bien ROGER, tu sortirais presque de ton GRAND JARDIN pour aller faire du kayak. Je pense que tu pourrais effectivement pagayer avec… mais tu n’irais certainement pas très vite !

      

SÉRIE "VIE PRATIQUE"

BRISE GLACE A GOUTTIÈRE

MARIE-JOSEE a des déboires avec sa gouttière pleine de glace, et la faire fondre du haut de l’échelle avec un sèche-cheveux va très vite passer de mode : vive notre engin brise glace !

ATTRAPEUR DES PETITS OBJETS PERDUS

Les chats de CATHY doivent lui en faire voir de toutes les couleurs : tout se retrouve sous le canapé : voilà une bonne idée !

UNE VOCATION... STYLE MARTINET ?

MARIE-JOSÉE veut s'en servir pour se flageller, et FIFI l'emploierait bien pour "se mettre des baffes" !

       

OU LE RANGER ?

Dans un placard à balais selon les unes… Ce qui me semble assez logique !

Présentement, il a atterri dans le placard à matériel de repassage qui sert aussi de placard pour les compteurs électriques !

      

QUEL EST SON DEVENIR ?

Si son heureux propriétaire lit ces lignes (ce que je ne doute pas), 

il verra que MARIE-JOSEE, notre québécoise, 

est fort intéressée, l’hiver étant déjà bien installé chez elle !

Mais il y a aussi CATHY 

qui se demande bien où se procurer cet instrument d’enfer !

Alors, mon cher Alain, tu peux dès maintenant te convertir au télé-achat !

Suis sûre que tu aurais des acheteuses !

      

PETIT INTERMEDE… INSOLITE

Laissons pour un temps nos découvertes québécoises que nous aurons largement le temps de retrouver dans les jours prochains.

Non, aujourd’hui, il est une question qui me turlupine depuis deux ou trois jours.

C’est vrai que sans internet, on peut faire des découvertes étranges, surtout lorsque l’on n’est pas chez soi. C’est ainsi que je vous propose, à vous toutes ménagères érudites et émérites, fans d'objets insolites pouvant vous faciliter la vie, de deviner quels sont les tenants et aboutissants de cet étrange instrument :

L'histoire commence tout simplement par un manche… pas très long, style manche à balai, mais quelque peu raccourci : on va dire… environ 50 cm de long (en fait, je n’ai pas vraiment mesuré).

C'est ici que tout devient beaucoup plus insolite.

Un second élément vient s’ajouter au premier :

Les deux morceaux mis bout à bout d'une agile torsion de poignet donnent ceci :

(le tout étant long d’à peu près 1 m)

Et de profil… c’est d’une minceur extrême !

Alors je vous pose la question fatidique :

                                                                   * Qu'est-ce-que c'est ?

                                                                   * A quoi cela sert-il ?

                                                                   * Avez-vous le même engin chez vous ?

                                                                   * Si oui, l’utilisez-vous souvent ?

A signaler que le propriétaire de cet objet insolite 

ignorait encore hier qu’il en possédait un…

Il n’a aucune idée de son utilité !

Et moi non plus !

Alors, par pitié,

aidez-nous à ranger enfin

CE MAGNIFIQUE OBJET

au bon endroit dans la maison !

D’avance… MERCI !

*****

BATEAUX AU CAP TRINITE

Vu par Lucius O’Brien (1832-1899) 

le cap Trinité tel qu’il devait apparaître en 1880, 

date à laquelle a été peint ce tableau.

Les falaises plongent dans le fjord… 

quelques voiliers s’engagent dans la baie…

 Lucius O'Brien : Lever du soleil sur le Saguenay, cap Trinité - 1880 

Par le même peintre…

« Une journée de septembre sur le Saguenay » - 1884

CLIQUEZ ICI

Presque vu du même endroit, quelques 130 années plus tard… 

Une ville flottante en croisière autour du monde, 

sort majestueusement de la Baie Éternité… 

 Le "Crystal Symphony" sortant de la Baie Eternité 

Que font les passagers du « CRISTAL SYMPHONY » au moment où nous les croisons ?

Sont-ils en train de jogger d’un pont à l’autre, sont-ils en train de barboter dans leur piscine flottante, ou bien sont-ils encore endormis après une longue nuit festive ? En y regardant de plus près, je m’aperçois que les ponts extérieurs ne sont pas bondés ! Comptez le nombre de personnes admirant les rivages escarpés du fjord : ils ne sont pas nombreux… Pourtant, ils doivent être aux environs de 900 embarqués, peut-être plus, peut-être moins : j’imagine qu’un tel navire n’appareille que s’il est au complet !

e "Crystal Symphony" en croisière sur le fjord du Saguenay 

Et bien non, ce n’est pas dans ce navire ****** 

que nous visiterons le fjord, 

mais à bord d'un bateau beaucoup plus modeste :
Le "Fjord Saguenay II"

 Le bateau mouche "Fjord Saguenay II"  et son port d'attache à l'Anse-Saint-Jean 

Pas très grand….

Aux couleurs pimpantes…

 Avec vue bien dégagée de tous les côtés…

Et pas envahi par la foule !

 Le fjord du Saguenay, vu de l'intérieur du bateau mouche "Fjord Saguenay II" 

Petit clin d’œil avec cette très courte vidéo… 

histoire de donner un peu de mouvement à ce billet !

Pour vous faire encore un peu profiter des lignes bleu-sombre des crêtes qui soulignent l'horizon...

Ligne de crête sur le Saguenay

Quelques heures plus tard,

Vu depuis l’Anse à la Tabatière

Le même bateau,

En route pour Sainte-Rose-du-Nord,

File sur le fjord… 

 Le "Fjord Saguenay II" vu du belvédère de l'Anse à la Tabatière 

Ligne d’écume

Au milieu du fjord tout bleu

La flèche d’argent

    

FALAISES

Scruter les falaises

Dans leurs lignes verticales

Deviner les voies menant au ciel,

Y découvrir d’étroites vires

Où, pour les petits arbuste égarés,

Il faut bien s’accrocher…

Et vivre ! (*)

Paroi verticale au Cap Trinité (Fjord du Saguenay)

Fines fissures

Sur la haute paroi grise

Jardins suspendus

*

(*) Tien, c’est l’ancienne « grimpeuse » qui se réveille !

LUMIERE ET SAPINS AU CAP TRINITE

    

Rayon de soleil

Les sapins se découpent

Le jour se lève

    

Coulée lumineuse

Surplombant le Saguenay

Diagonale

    

Finement ourlées

Elles s’élancent vers le ciel

Ombres chinoises

    

STATUE DE LA VIERGE NOTRE-DAME-DU-SAGUENAY

Fjord du Saguenay

Cap Trinité…

Conte, légende, miracle, histoire vraie… ?

La vierge blanche érigée au dessus du fjord du Saguenay apparaît soudain…

Statue de la vierge NOTRE DAME DU SAGUENAY à Cap Trinité

Sur le bateau, un « Ave Maria » très émouvant salue cette belle statue qui nous domine tout là-haut, entourée de sapins : elle veille sur le fjord !

Un grand moment… où j’ai cherché quelque mouchoir en papier (sans en trouver) tout en continuant à photographier !

Statue de la vierge NOTRE DAME DU SAGUENAY à Cap Trinité

Suivez l’aventure peu banale de

Charles-Napoléon Robitaille

qui fit élever cette statue en…

CLIQUANT ICI

*

CLOCHERS, COQ GAULOIS ET GLORIETTES

Le coq des clochers                                                                       

Symbole de la résurection : lire l’article dans WIKIPEDIA. 

Les clochers des églises élancent fièrement leur flèche effilée vers le ciel…

La plupart du temps de couleur blanche ou grise, elles sont surmontée, le plus souvent, d’une simple croix, mais aussi parfois… d’un superbe….

COQ GAULOIS !

Les québécois étant très intéressés, voire même friands de météo,

agrémentés d'une girouette, il peut ainsi indiquer la direction des vents !

Coq et gloriettes

On en trouve aussi sur les gloriettes de bois, très prisées dans les jardins ou les aires municipales car elles offrent ombre pour l’été et abri intime lorsqu’elles sont bien chauffées en hiver !

Gloriette et son coq au bord du Lac Saint-Jean

Mais bien souvent, nos coqs se sont envolés, laissant libres les toits sous lesquels  nous pouvons nous abriter :

Le gîte « Chez Yola », à l’Anse-Saint-Jean nous a accueillis une soirée entière : casse-croute-ordi-photos, dans un joli petit salon aménagé, coussins et canapés, table basse et lumières tamisées… mais invisible ici du fait des moustiquaires omni présentes sur toutes les portes et fenêtres !

La gloriette du gîte « Chez Yola » à l’Anse-St-Jean

Cette gloriette à la MALBAIE, face au Saint-Laurent, plairait certainement à cette mouette, pour s’y poser en toute sécurité !

Gloriette sur la promenade Samuel de Champlain à la Malbaie

Point de coq non plus sur cette autre, que nous avons pu admirer de la porte fenêtre du gîte « Détente sur Mer » à Cap-des-Rosiers en Gaspésie, où nous avons passé deux nuits. Propriétaires charmants pleins de gentilles attentions,  vue imprenable… sans vis-à-vis : à recommander !

La gloriette du gîte « Détente sur Mer » et l'estuaire du Saint-Laurent

Une expression offerte par arlettart :

"J'aime ces gloriettes

ces édicules pour rêveur rêvant 

pour poète poètant 

pour musicien en harmonie"

Coq en médaillon

Promenade Samuel de Champlain à la Malbaie

Le célèbre « Coq Gaulois »

Contres vents et marées

A franchi le Grand Océan (*)

Pour venir coloniser

Gloriettes et clochers

Et indiquer avec fierté

La direction des vents

Pour le plus grand plaisir

De nous autres passants

(*) Samuel de Champlain l’avait-il apporté dans ses bagages ?