Suite de ma balade : derrière la plus haute dune,
l’océan se dévoile enfin… au loin…
Marée basse, l’estran
s’étale, tout de roches brunes illuminées par les rayons matinaux.
Deux petits bateaux ont encore la coque à l’eau… mais cela
ne va pas durer : dans quelques heures, ils seront en cale sèche.
Il y a quatre ans, au même endroit, je les avais déjà
remarqués… et immortalisés à ma façon (CLIQUEZ ICI).
J’erre au hasard au milieu des rochers et entre les flaques d’eau
restée piégée par la marée : jolis reflets, mais je n’ai pas rencontré la
sirène qui m’avait tant émerveillée lors d’un autre séjour… elle est restée
cachée !
J’y retrouve cependant ses gardiens en sentinelle : quelques
coquilles spiralées de bigorneaux
qui me rappellent celles déjà rencontrées sur les dunes. C’est ma journée
« gastéropode » !
Un peu plus loin, j’avise maître Héron Cendré qui
se la joue « au
long bec, emmanché d’un long cou »
S’est-il contenté de quelques bigorneaux où poursuit-il
proie plus alléchante pour son petit déjeuner ? L’endroit lui semblant
déjà bien inventorié, il s’en est allé voir un peu plus loin !
Zut, je n’ai pas pu l’approcher plus !
Offert par Tilia :
Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Et toi
Comme une algue doucement caressée par le vent
Dans les sables du lit tu remues en rêvant
Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Mais dans tes yeux entrouverts
Deux petites vagues sont restées
Démons et merveilles
Vents et marées
Deux petites vagues pour me noyer.
Prévert, Sables mouvants (ici admirablement chanté par Jacques Douai)
Offert par Tilia :
Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Et toi
Comme une algue doucement caressée par le vent
Dans les sables du lit tu remues en rêvant
Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Mais dans tes yeux entrouverts
Deux petites vagues sont restées
Démons et merveilles
Vents et marées
Deux petites vagues pour me noyer.
Prévert, Sables mouvants (ici admirablement chanté par Jacques Douai)
Offet par Enitram :
Qu’importe le grand vent… En sabots et caban,
Dos courbé par les ans, mains croisées par derrière,
Il va de son pas lent le long d’une frontière
Qui n’est terre ni mer et qu’on nomme l’estran.
Le marcheur de l'estran
Jean Claude Jugan
Qu’importe le grand vent… En sabots et caban,
Dos courbé par les ans, mains croisées par derrière,
Il va de son pas lent le long d’une frontière
Qui n’est terre ni mer et qu’on nomme l’estran.
Le marcheur de l'estran
Jean Claude Jugan
(à suivre)
Magnifique saisie. Malheureusement seule la première photo s'affiche...
RépondreSupprimerAh bon ? Essaie de nouveau, peut-être cela fonctionnera-t-il mieux
SupprimerUn vrai rêve, ces photos... Toutes ! Pas de sirène cette année, mais des algues aux couleurs de péridot, des bigorneaux et surtout cette beauté emmanchée d'un long cou ! Merci pour ces paysages de rêve, j'adore l'océan...
RépondreSupprimerBisous Christine et belle semaine !
Semaine ensoleillée !
SupprimerC'est le moment que je préfère quand au détour d'un rocher ou d'une dune la mer apparait avec son lot de merveilles.
RépondreSupprimerA défaut de sirène au cœur parfait, cet oiseau de cendre t'a offert son majestueux envol.
J'aime beaucoup ta dernière photo.
Groseeeeees Biseeeeeees Christineeeeeee.
Belle soirée
J'aurais aimé l'approcher de plus près... mais la vue est très dégagée...et pas moyen de se cacher. ça sera pour la prochaine fois.
SupprimerMe souviens de ta petite sirène que je garde dans mes phot préférées
RépondreSupprimerPas vu les images tout de suite il faut clic dessus longtemps
Mais belle récompense
Je me demande si ton ordi n'a pas besoin d'être un peu boosté !
SupprimerCe sont des ocres fabuleux, ne vas-tu pas les peindre ?
RépondreSupprimerJe t'embrasse, Christineeeeeeeeeeee, très belle journée !
Je sais que les ocres te parlent, mais je n'en suis pas encore au stade de les peindre. Si le coeur t'en dis !
SupprimerLa "Dame du Lac" ne s'est donc pas manifestée, elle t'a juste laissé un chevalier héron...
RépondreSupprimerA moins que ce ne soit elle, complètement transformée !
SupprimerCela semble être l'aube du monde, quand l'homme n'avait encore rien envahi.
RépondreSupprimerBeaucoup de sérénité dans ces photos.
Biseeeeeeeeeeeeeeeeees Christine.
C'était un peu après l'aube...
SupprimerDémons et merveilles
RépondreSupprimerVents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Et toi
Comme une algue doucement caressée par le vent
Dans les sables du lit tu remues en rêvant
Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Mais dans tes yeux entrouverts
Deux petites vagues sont restées
Démons et merveilles
Vents et marées
Deux petites vagues pour me noyer.
Prévert, Sables mouvants (ici admirablement chanté par Jacques Douai)
Merci pour ces merveilleuses images, Chirstineeeeee, bisouuuuuus
Merci Tilia, pour tes illustration poétiques toujours bien trouvées !
SupprimerQu’importe le grand vent… En sabots et caban,
RépondreSupprimerDos courbé par les ans, mains croisées par derrière,
Il va de son pas lent le long d’une frontière
Qui n’est terre ni mer et qu’on nomme l’estran.
Le marcheur de l'estran
Jean Claude Jugan
De belles photos qui nous racontent la vie sur l'estran...
Belle soirée ! Bises
Et toi aussi, Enitram : heureusement que vous êtes là pour compléter mes billets !
SupprimerIdem pour moi tes images sont longues à venir sans doute à cause de l'escargot ;-) Bise Christine
RépondreSupprimerJ'espère que cette lenteur n'est que passagère : chez moi, aucun problème, tout s'ouvre à la seconde près !
Supprimercette fois-ci j'ai pu admirer tes belles photos...et aussi le chien couleur sienne.. bises
RépondreSupprimerAh ! tant mieux !
SupprimerDes images très evocatrices, les bateaux adorables...
RépondreSupprimer☺ ☺ ☺ !
SupprimerUne belle balade en bord de mer et un héron qui joue les cabotins... De belles photos, comme d'habitude chez toi.
RépondreSupprimerGros bisous Chrisitineeeee
Ah, ces hérons !
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